Les Chérubins électriques : on vous
aura prévenus !
Avertissement : la lecture de
ce livre peut entraîner des étourdissements,
des éblouissements temporaires,des rêves récurrents ou des maux de tête, voire
des envies de revenir en 1978 ou 1979.
Mode d’emploi : commencez par
écouter MODERN GUY, enchaînez avec du TAXIGIRL, Suicide Roméo et du KAS
PRODUCT. Excellent pour la santé mentale et le développement de la culture
musicale d’excellence, norme ISO JOY/DiV/666. Pas de quota.
Posologie : livre dense, très
bien écrit, belle syntaxe et phrases à sens profond, donc ne pas dévorer trop
vite. Prévoir quelques heures de lecture en injection intra-cervicale bien espacées
ou toute la dose en une nuit, mais avec adjonction d’aspirine et d’euphorisant matinal.
Nota Bene subjectif : L’auteur,
Guillaume Serp n’est plus de ce monde depuis 1987. Et ça, c’est nul.
Code couleur couverture :
Jaune poussin vif et bleu tendance électrique Sylvie. C’est du Pan-Pantone. Choix
de« l’éditeur singulier ».
Conseil du jour : Achetez ce
livre, lisez-le sans tarder.
Horoscope : Cancer, vous
aller lire un livre formidable. Taureau cordial, Mulot rieur, Poisson-chat,
Dragon de porcelaine fêlée, numéro 6, 49 ou 1, Verseau-litaire et tous les
autres, en fait … pareil !
Références : Boris Vian, pour
la fête folle de « Vercoquin et le plancton ». Bret Easton Ellis, pour
les nez poudrés de Moins que zéro.
Instruments utilisés : Fender
Telecaster, Clavier Juno 106, Basse Rickenbacker
(modèle tbd), batterie selon opportunités et batteur du moment. Divers
stupéfiants, alcools forts, cigarettes par cartouches.
Conclusion du Chef : Ouvrage
plus que recommandé, à déguster offrir à ses amis qui écoutent de la musique et
aiment la littérature de haute qualité. Un peu vénéneux, mais plat salutaire
pour le cervelet. 4 toques et autant de toqués/ 5 étoiles dans les yeux.