Après huit ans d'absence, sans compter les différents
remixes – Air, Kap Bambino ou encore Vanessa Paradis –, le frenchie revient,
puissamment.
Jackson And His Computer Band, de son vrai nom Jackson
Fourgeaud, est considéré par la presse, depuis son premier disque Smash
datant de 2005, comme un innovateur et maître de la French Touch.
Préférant la recherche patiente à la sortie d’albums à la chaîne, le Beethoven de la musique électronique nous a délivré l'année passée un second opus plus que parfait, émotionnellement et compositionnellement (ce terme n'existe pas je sais) parlant. Mille sonorités envoûtantes, des orchestrations à la limite de l'apoplexie, aux odeurs célestes qui partent dans l'univers, là-bas, accrochée à une étoile dont on n’aurait soupçon, plus brillante même que celle du Berger, voilà ce qu'est pour moi sa seconde création : Glow.
On a envie de danser, de rêver, de sourire, de tout balancer, de partir dans ses pensées, de s’envoler vers un autre monde tout en restant dans le nôtre, à écouter et réécouter les 12 titres qui forment cet ovni musical. Un ovni que l'on souhaite choper en plein vol et se l'accrocher au cœur, pour que celui-ci batte encore mille ans. Et mille ans de vie supplémentaires, ce n'est rien comparé à la préciosité de cette œuvre.
Pour mieux comprendre le "Computer Band" et surtout pour ouïr (jouir ?) le monsieur, je vous laisse avec son concert (dans son intégralité s'il-vous-plaît) joué à la Route du Rock collection hiver il y a trois de mois de cela.
Bon envol !
Préférant la recherche patiente à la sortie d’albums à la chaîne, le Beethoven de la musique électronique nous a délivré l'année passée un second opus plus que parfait, émotionnellement et compositionnellement (ce terme n'existe pas je sais) parlant. Mille sonorités envoûtantes, des orchestrations à la limite de l'apoplexie, aux odeurs célestes qui partent dans l'univers, là-bas, accrochée à une étoile dont on n’aurait soupçon, plus brillante même que celle du Berger, voilà ce qu'est pour moi sa seconde création : Glow.
On a envie de danser, de rêver, de sourire, de tout balancer, de partir dans ses pensées, de s’envoler vers un autre monde tout en restant dans le nôtre, à écouter et réécouter les 12 titres qui forment cet ovni musical. Un ovni que l'on souhaite choper en plein vol et se l'accrocher au cœur, pour que celui-ci batte encore mille ans. Et mille ans de vie supplémentaires, ce n'est rien comparé à la préciosité de cette œuvre.
Pour mieux comprendre le "Computer Band" et surtout pour ouïr (jouir ?) le monsieur, je vous laisse avec son concert (dans son intégralité s'il-vous-plaît) joué à la Route du Rock collection hiver il y a trois de mois de cela.
Bon envol !
Marc Chiny
