Pour moi Damien
T'es comme un saint
Un saint certes pas très sain
Reflet de la peine en ses yeux
Mais que t'es beau de l'être
Et bon Dieu
Que tu fais du bien
T'es comme un saint
Un saint certes pas très sain
Reflet de la peine en ses yeux
Mais que t'es beau de l'être
Et bon Dieu
Que tu fais du bien
Moi quand j't'écoute
C'est tout un monde qui s'écroule
Pas le mien mais le leur
Et puis v'là que la peur
Elle aussi se fait la malle
C'est tout un monde qui s'écroule
Pas le mien mais le leur
Et puis v'là que la peur
Elle aussi se fait la malle
Damien quand j't'entends
J'te sens si proche en mon sein
On a beau me faire les poches
Et ce jusqu'à demain
Y'a cette communion de nos esprits
De nos cœurs contre les chiens
Ces sans âme
Ces si tristes de charme
J'te sens si proche en mon sein
On a beau me faire les poches
Et ce jusqu'à demain
Y'a cette communion de nos esprits
De nos cœurs contre les chiens
Ces sans âme
Ces si tristes de charme
T'es pourtant si loin
A faire ta vie
A sûrement essayer de sourire
Comme chacun dans son coin
Comme moi chaque matin
Amèrement
A faire ta vie
A sûrement essayer de sourire
Comme chacun dans son coin
Comme moi chaque matin
Amèrement
Pour moi t'es comme un mat
Tu portes la voile
Et tu souffles le mien
Tu portes le vent
Et tu libères mon horizon
Tu portes la voile
Et tu souffles le mien
Tu portes le vent
Et tu libères mon horizon
Dans une rue qui promène la mort
A ce mat je m'accroche
Pour que la tempête ne m'emporte
Aux profondeurs de ma pensée
Parfois si noire
Par un amour volé
Envolé
Pour un trop "toujours"
Comme une colombe à jamais partie vers un autre ciel
Même les hirondelles se sont enfuies de ma tombe
A ce mat je m'accroche
Pour que la tempête ne m'emporte
Aux profondeurs de ma pensée
Parfois si noire
Par un amour volé
Envolé
Pour un trop "toujours"
Comme une colombe à jamais partie vers un autre ciel
Même les hirondelles se sont enfuies de ma tombe
Alors je reste là
Las de voir l'ignominisme qui m'entoure
Tous ces fascismes, tous ces sexismes
Toutes ces bêtises
Et leur bonheur
Et je ne ni ta force de lutte, ni ta culture
Mais je m'y efforce sois en sûr
Et je tente d'y mettre la forme
A coup dur parfois
Au comptoir
Quand il était trop tard
Las de voir l'ignominisme qui m'entoure
Tous ces fascismes, tous ces sexismes
Toutes ces bêtises
Et leur bonheur
Et je ne ni ta force de lutte, ni ta culture
Mais je m'y efforce sois en sûr
Et je tente d'y mettre la forme
A coup dur parfois
Au comptoir
Quand il était trop tard
Tu sais
Ce n'est pas mon genre d'écrire à celles et ceux que j'admire
Pour leur art, pour leur personne
Si ce n'est à mes proches
Mais toi je sais pas
T'es tel mon frère
Celui que je n'ai peut-être pas eu
Celui qui m'a montré la lumière
Ce n'est pas mon genre d'écrire à celles et ceux que j'admire
Pour leur art, pour leur personne
Si ce n'est à mes proches
Mais toi je sais pas
T'es tel mon frère
Celui que je n'ai peut-être pas eu
Celui qui m'a montré la lumière
Y'avait plein d'choses en moi qui voulaient sortir
Alors j'voulais écrire
Mais je savais pas comment
Je trouvais ça pas bien fait
Trop distant
Et un jour j''t'ai écouté
Et j'me suis dit "Putain"
et
"Merci à toi"
Alors j'voulais écrire
Mais je savais pas comment
Je trouvais ça pas bien fait
Trop distant
Et un jour j''t'ai écouté
Et j'me suis dit "Putain"
et
"Merci à toi"
Ouais merci à toi de m'inspirer tant
Et de m'avoir délié les mains à l'écriture
Et de m'avoir délié les mains à l'écriture
Dans une rue qui promène la mort
A ce mat je m'accroche
Pour que la tempête ne m'emporte
Aux profondeurs de ma pensée
Parfois si noire
Par un amour volé
Envolé
Pour un trop "toujours"
Comme une colombe à jamais partie vers un autre ciel
Même les hirondelles se sont enfuies de ma tombe
A ce mat je m'accroche
Pour que la tempête ne m'emporte
Aux profondeurs de ma pensée
Parfois si noire
Par un amour volé
Envolé
Pour un trop "toujours"
Comme une colombe à jamais partie vers un autre ciel
Même les hirondelles se sont enfuies de ma tombe
Salut à toi Ami, qui par ta peine soulage la mienne
Et que ça dure
Pour encore un
De toujours
Qui rassure
Et que ça dure
Pour encore un
De toujours
Qui rassure
Marc C.