Être rock en 2005, c’est allumer la radio avant de mettre le
contact. (Rock’n Folk).
Être blues en 2015, c’est aller chercher ses musiciens en
403 retapée main pour répéter jusqu’à pas d’heure, avoir un claviériste, un
blouson en cuir et des posters de pinups sur les murs du studio. Ou bien en
être rendu à des dizaines de concerts dans tous les bars de Lyon et y embarquer
le public dans un univers authentique avec un set franchement maîtrisé, pour
les nostalgiques des sixties ou simples fans de blues-rock qui s’assume. A
moins que ça, ce ne soit être un Wild Son… (Juliette@Songazine)
Tout est dit ! Enfin presque…
J’ai juste oublié de mentionner qu’ils jouent ensemble
depuis bientôt dix ans, et que leurs morceaux valent le coup en acoustique
aussi bien qu’en électrique. Même si vous faites partie des profanes pour qui
tous les morceaux de blues du monde se ressemblent, acceptez d’en être
détrompés. Aller les voir jouer c’est toujours être sûrs de trouver de la
bière, et de passer une bonne soirée.
Jetez une oreille aux compos, un œil aux clips, et
surveillez leurs actualités : ils commencent à tourner pas si loin de chez
vous !
Les informations c’est par ici : https://www.facebook.com/TheWildSons?fref=photo
Et la musique par là : https://thewildsons.bandcamp.com/